Pouvons-nous parler de plagiat ?
Kek, blogueur et développeur web, a déclaré qu’il a failli s’enrichir suite au « plagiat » d’un de ces jeux par Flappy Bird. En fait, il était très loin de la réalité.
En réalité, Flappy Bird n’est rien d’autre qu’un psychodrame à plusieurs rebondissements. Rappelons le c’est un jeu qui rapporte 50 000 $ à son créateur. Mais depuis quelques temps, le créateur a enlevé l’application car ne supportant pas plus toute la pression qui entourait Flappy Bird.
En 2011, Kek publie un petit jeu intitulé Piou Piou, également disponible sur mobile. Dans ce jeu un petit oiseau doit dépasser des barrières rectangulaires vertes venant de deux côtés de l’écran. Cela vous fait penser à Flappy Bird n’est-ce pas ? Exactement. C’est normal. Alors Kek en parle sur les réseaux sociaux. Alors qu’en réalité, Kek n’a pas été victime de plagiat.
NON ! Kek n’a pas été victime de plagiat
Avouons-le, lorsqu’on regarde plus haut, on pourrait en effet croire que Kek a tout à fait raison de dire qu’il a été plagié. Mais ces ressemblances, nous pouvons les retrouver avec plusieurs autres jeux très connus. On peut citer Crush the Castle et Angry Birds. Celui qui est sorti le premier n’a pas forcément été celui qui a connu plus de succès. Alors, il y a ressemblance entre les deux jeux (Flappy Bird et Piou Piou) mais on est loin de parler de plagiat puisque ni les règles de jeux ni la jouabilité ne sont pas les mêmes. Les cas de plagiat où le plaignant a eu raison, c’est seulement parce qu’il y a eu copie conforme de l’initial. L’on comprendrait évidemment si Nintendo réclamait des droits sur les spirites utilisés dans Flappy Bird car étant protégés par des droits d’auteur.
Alors Kek devrait plutôt revoir sérieusement la publicité de ses jeux sur les mobiles au lieu de regretter les millions qu’il a failli gagner.